De la Féclaz au Révard
La météo ne donnait pas un beau jour d'été que ce soit à la télévision sur tf1, France 2 et France 3 ou à la radio ( France info ). On a pu rouler en fait sous un soleil de bronze toute la journée. On a eu le temps de grimper jusqu'à la Féclaz et même de pousser un peu plus loin à 1550 mètres d'altitude au Revard d'où la vue est panoramique. Il y à 12 kilomètres de St Jean d'Arvey à la Féclaz mais le plus dur n'est pas dans cette partie, elle est avant. Pour parvenir au village suspendu de St Jean d'Arvey il faut escalader la montagne dès la sortie de St Alban Leysse en traversant un Tunnel rafraîchissant des virages secs. L'ascension est tout de même facilitée par l'équipement emprunté : les vélos sont tous neufs et sont de la nouvelle technologie. Il s'agit d'un V.T.C ( 18 vitesses ) pour le Grimpeur et d'un V.T.T ( 21 vitesses ) pour le Descendeur. Pour le Mixte, qui se trouve aussi bon en descente qu'en montée, il avait son propre vélo, un vélo de course. Qu'avons nous croisés en route ? Différentes races de vaches avec leurs veaux, des chevaux, des chèvres et même un chien agressif qui voulait goûter mes jambes ! Sur le bord de route on aperçoit souvent des ruisseaux. Là-haut aux alentours des 11 h 30 on se reposa près de l'église de la Féclaz dont la décoration de noël n'avait pas été enlevée. Comment se présentait le paysage ? Des prairies composées hautes herbes sèches parsemées de fleurs et bordées par les forêts de sapin laissant entrevoir les massifs montagneux des Alpes dont le plus proche et le plus visible à cause de l'absence de nuages est le Margéria (z ? ). Le pique-nique apporté par Patricia nous remis en forme pour continuer la ballade sur le plateau du Revard où l'air est vivifiant, le vent paralysant, le soleil tranquilisant. 10 kms après on arriva sur le sommet du plateau et on surplombait le Lac, Chambéry et toutes les autres communes de la région lesquelles nous semblaient un formidable monde miniature. A 14 h 15 commençait le chemin du retour par le même trajet. Il fut bien moins pénible et beaucoup plus rapide. Nous sommes montés en 2 heures approximativement alors que nous sommes redescendus en 1 heures à Monge. |