CROISSANDEAU Jean Michel
Les bonnes notes de la France (1992)

 


(18 raisons d'espérer)

  1. Le niveau monte : (niveau Bac : 1980 34% - 1992 60%)
  2. En marche vers un enseignement plus juste : aspect qualitatif et quantitatif ; hausse de la scolarisation ; stratégie scolaire pour les plus aisés.
  3. Equité par une politique de l'offre : les politiques se décident au niveau local (bassin de formation).
  4. La justice par l'inégalité : les ZEP, donner le plus à ceux qui ont le moins ; d'après la DEP, la situation des Zep s'améliore ; la concentration des élèves en difficulté n'est plus un handicap.
  5. La préscolarisation, facteur de réussite : la maternelle fleuron de l'école française : éduquer et socialiser ; accueil des enfants dès 3 ans (2 ans en ZEP).
  6. Le CDI, facteur d'égalité des chances : utilisation d'outils que les élèves ne possèdent pas à la maison.
  7. Pour faciliter la réussite des élèves, des maîtres mieux formés : généralisation des IUFM en 1991 ; enseigner est un métier, non un art.
  8. Finis les redoublements dans le primaire : enseignement en cycles.
  9. Ecole facteur d'intégration des immigrés : importance de l'acquisition de la langue française; rôle d'acculturation.
  10. Les filles gagnent : elle réussissent mieux ; l'école a permis la reconnaissance publique pour les filles.
  11. L'école présente en milieu rural : transports scolaires ; regroupements pédagogiques.
  12. L'élève est une personne : il est au centre du système éducatif ; changement des rapports entre l'institution et les élèves.
  13. Les progrès de l'enseignement professionnel : les CET sont devenus LEP puis LP ; CAP, BEP, Bac Pro.
  14. Création des IUT, 25 ans de service (1956) : faible chômage pour ces formations.
  15. De nouvelles formations pour les ingénieurs.
  16. Formation des adultes, domaine d'excellence : création des GRETA en 1972 ; liaison avec ANPE.
  17. Education entreprise : l'amour obligé : partenariat dès1975 ; notion de citoyenneté des entreprises.
  18. L'école contre le chômage des jeunes : il y aura toujours un décalage école – entreprise ; l'école devrait réfléchir à certaines conditions nécessaires pour travailler l'adaptabilité.



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