Lors du colloque de villepinte, le ministre a indiqué une forte
augmentation de la délinquance des jeunes et sa précocité
croissante. Il parle de la ghettoïsation des banlieues et de l'apparition
de zones de 'quasi non droit'. La carte recoupe celle des populations
immigrées et des violences scolaires. En clair, les causes principales
décrites par les médias seraient l'immigration, la banlieue.
Explications : faible niveau culturel, mauvaise maitrise du francais
dès l'entrée en sixième et donc chute vertigineuse
des résultats scolaires. Seine saint denis : protocoles de partenariat
police/ecole. Le fait que les jeunes francais originaires de l'immigration
ne soient pas recensés est à l'honneur de la France mais
: dénonciation d'un refus de voir ce que prouvent les chiffres
et de voir la réalité du terrain.
Les comportements délictueux s'expliquent par une mauvaise
intégration sociale et une faible assimilation culturelle.
Certains jeunes sont issus de familles dont les modes de vie, les coutumes
et les moeurs demeurent fort éloignés des nôtres,
et qui entrent en conflit avec les habitudes de l'environnement ou révèlent
une différence culturelle que nos lois réprouvent. D'autres
jeunes adhèrent à des sous cultures ou cultures de banlieues
ayant en commun une seule loi, la loi du plus fort. Ces signes
d'inadaptation [...] émanent surtout de jeunes d'origine maghrébine
et africaine, trop souvent marginalisés, en échec scolaire,
sans formation professionnelle, qu'il faudrait remettre sans tarder
sur les rails de l'intégration à la République
et à la Nation.